Peut-être faut-il essayer de comprendre un peu mieux Guy Cogeval, avant de le traiter de réactionnaire. Trop souvent on remarque dans les musées, dans les monuments historiques, des gens qui ne savent plus voir qu’à travers le viseur ou l’écran de leur appareil photo. C’est une vision médiatisée donc biaisée, incomplète, limitée par les capacités de l’appareil. Quand on a la chance de pouvoir s’approcher d’une œuvre, quand on a fait des centaines ou des milliers de kilomètres pour cela, quel dommage de ne pas la regarder dans sa vérité, sa matière, sa prise de la lumière, son format, les effets du (...)