Pour les personnes invalides et handicapées, le chateau de Versailles est devenu une horreur : on y est bousculé dans tous les sens et l’on ne profite de rien.La densité y est tellement élevé que les oeuvres mêmes sont en péril et que la rentabilitémenace les restauration faite à grands frais. Le 18 aout 2011, j’ai abandonné dès le rez de chausséeet le château pour me réfugier auPetit Trianon où il y avait moins de danger pour moi...