C’est très intéressant, mais le problème est mal posé de mon point de vue, c’est l’envers qui me semble la vraie question. Pourquoi autoriser la photographie en tout lieu et tout temps ? En gros : faut-il tout photographier ? Le problème posé, c’est la profusion, un photographe pourquoi pas, un million, certainement pas (et pour Orsay la question est : pourquoi supporter 3 000 000 de photographes ? La question que je pose, qui est une question générale, doit-on tout faire en tout lieu et en toute circonstance ? Je crois que l’on pas encore abordé sérieusement la relation multitude et liberté. Il (...)