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Arte zappe le McDo Louvre et autres petites censures

Bernard Hasquenoph |

Louvre pour tous | 22/12/2010 | 08:18 |


Devant parler du McDo Louvre dans un documentaire pour Arte, nous avons été écarté sans explication. On flaire l’embrouille. Les musées aiment-ils donc la censure ? Nos anecdotes sur le Louvre, Versailles, Pompidou...

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Au McDo Louvre ©BH

22.12.10 | HABITUELLEMENT, ce sont des choses qui ne se disent pas. Par crainte d’être grillé dans les médias mais comme nous le sommes de fait, ignoré de la plupart, ça ne changera pas grand chose. Mais dans notre relation aux médias déjà ponctuée de pas mal de déconvenues, voilà sans doute l’histoire de trop. Une succession de petites censures qui jettent un drôle d’éclairage sur l’indépendance des médias français, y compris dans le domaine culturel... Fin décembre, un documentaire traitant de la relation des Français à l’enseigne McDonald’s est programmé sur la chaîne publique culturelle ARTE, dans le cadre d’une soirée Théma sur la gastronomie. Le réalisateur, jeune journaliste travaillant pour une boîte de production des plus sérieuses, nous avait appelé fin septembre. Il souhaitait nous rencontrer au sujet du McDo ouvert en décembre 2009 au Carrousel du Louvre, cette galerie commerciale qui entre dans le périmètre du célèbre musée. La nouvelle, passée presque inaperçue en France, avait fait le tour du monde, les étrangers se révélant mi-choqués mi-amusés de voir associer le roi de la malbouffe au temple culturel d’un pays où la cuisine est élevé au rang d’art. A l’origine de cette bronca internationale, l’un de nos articles repris quelques jours après sa mise en ligne par le DAILY TELEGRAPH britannique début octobre 2009. S’en était suivie une avalanche d’articles, de Grande Bretagne en Russie, d’Italie en Norvège, de la Corée aux Etats-Unis dont le site ARRÊT SUR IMAGES s’était fait l’écho. Durant plusieurs semaines, nous avions répondu à de nombreux médias étrangers dont BBC NEWS ou le NEW YOR TIMES tandis que le Louvre prenait ses distances, faisant croire que le musée n’avait rien à voir avec ce centre commercial, ce que démentaient ses propres rapports d’activité.

Le journaliste nous avait dit souhaiter ouvrir son sujet sur cette histoire car, à juste titre, elle lui semblait symboliser la victoire de l’implantation de la marque de fast-food en France, après trente ans de résistances et de polémiques. Rendez-vous fut pris. Avant cette rencontre, il nous avait rappelé pour nous demander l’autorisation d’utiliser nos vidéos tournées en amateur lors de la seule action de protestation ayant eu lieu dans ce McDo et éventuellement le visuel de la Joconde mcdonaldisée que nous avions créé. Lundi 27 septembre, en début d’après-midi, on se retrouva donc sur place, au McDo Louvre. On lui fit visiter les lieux puis ressortîmes pour nous poser dans un café et discuter du projet. Rapidement, il proposait de nous tutoyer, nous posa des questions, prit des notes. On lui avait demandé ce qu’il attendait précisément de nous, lui racontant nos différentes déconvenues avec des journalistes ( voir ci-dessous). Il avait été très clair, nous devions être l’un des quatre interlocuteurs du documentaire, il nous avait cité José Bové. Il souhaitait nous filmer dans le McDo Louvre, se disant confiant pour obtenir les autorisations, malgré nos doutes. On lui expliqua bien qu’on n’était pas vraiment en odeur de sainteté ni avec le musée, ni avec McDo puisque nous avions fait partie activement il y a quelques années du mouvement de défense des salariés du McDo Strasbourg-Saint-Denis, à Paris, en grève durant de très longs mois, événement qui avait été pas mal médiatisé. Notre témoignage l’intéressait d’autant plus, on lui remit d’ailleurs une revue de presse de cette époque. Il nous répondit qu’au pire, il tournerait des images du McDo Louvre avec son équipe et qu’il nous interviewerait ensuite à l’extérieur, dans un lieu qui restait à définir. Notre entretien l’ayant manifestement convaincu, il nous demanda nos disponibilités, nous proposa la semaine du 11 octobre pour tourner la séquence. On n’était pas sûr d’être libre. A confirmer. On repartit en confiance, tout nous semblait correct. Et puis, c’était pour ARTE...

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Au McDo Louvre © Bernard Hasquenoph

Une semaine plus tard, visiblement toujours déterminé, le journaliste nous rappelle pour savoir si nous sommes finalement libre la semaine du 11. Nous ne le sommes pas. Nous fixons alors comme date de tournage possible le 19 ou 20 octobre. Le premier jour arrive sans aucune nouvelle de sa part, ce qui nous étonne un peu. Le matin même, on lui envoie un texto. Accusé de réception, aucune réponse. Les jours passent, rien. Dix jours plus tard, on lui demande des explications via sa boîte vocale. Rien. Deux jours plus tard, enfin des nouvelles, un texto où il s’excuse de son silence, un déplacement à l’étranger, il nous rappelle demain. Il ne nous rappelle pas. Depuis... rien [1].

Il y a une semaine nous découvrons sur Internet l’annonce et le résumé du documentaire programmé pour le 29 décembre. Des quatre interlocuteurs initiaux, il n’en reste plus que trois. Aucune mention de l’histoire du Louvre McDo mais peut-être apparaîtra-t-il en décor, qui sait ? mais sans nous. Le 9 décembre, on envoie un dernier message, par mail. Aucune réponse. Pour quelqu’un qui présente sa boîte de prod en ces termes : « Nous travaillons toujours dans un esprit respect des individus. Nous y mettons un point d’honneur », vraiment on ne comprend pas [2].

Si nous avons pris le temps de donner tous ces détails, c’est pour montrer que ce n’était pas un vague contact, que le projet était réellement avancé et le tournage programmé. Nous ne croyons pas à l’impolitesse du journaliste qui aurait changé d’avis sans prendre la peine de nous prévenir. Son silence gêné et persistant est pour nous le signe qu’il y a bien eu embrouille. Que s’est-il donc passé ?

LE LOUVRE ET ARTE ABONNÉS À LA CENSURE
Si nous flairons l’embrouille, c’est que nous avons connaissance d’autres faits antérieurs d’actes de censure impliquant ARTE et le Louvre. A notre avis, en l’occurence, le problème ne vient pas du groupe McDonald’s qui a compris depuis bien longtemps que réduire les esprits critiques au silence ne servait à rien. Son service communication est bien plus malin que ça, ce qui explique en grande partie son succès. D’ailleurs José Bové lui-même fait partie du documentaire.

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Au McDo Louvre © Bernard Hasquenoph
Le samedi 25 avril 2009, ARTE ouvrait son antenne à une journée spéciale Louvre pour s’associer à l’anniversaire des vingt ans de la pyramide. Plusieurs documentaires sur le musée s’enchaînèrent et, à 22h35, METROPOLIS, le magazine culturel hebdomadaire de la chaîne qui porte « un regard sur notre culture et celle de nos voisins considérée comme autre chose qu’une simple marchandise » se consacra aux antennes du « Louvre Hors les murs », phénomène récent et quelque peu décrié : Atlanta aux Etats-Unis, Abou Dhabi dans les Emirats Arabes, ou plus près de nous Lens en région Nord-Pas-de-Calais.

Le principal contradicteur à ces différents projets révéla lui-même la censure dont il fit l’objet de la part de la chaîne publique. Didier Rykner, fondateur du site LA TRIBUNE DE L’ART qui constitue sans doute la revue d’art en ligne la plus consultée, raconta dans un billet intitulé sobrement « Censuré par Arte » comment l’équipe de METROPOLIS l’avait contacté pour lui demander d’intervenir au sujet de l’affaire Abou Dabi, les journalistes, selon leurs termes, ayant « du mal à trouver quelqu’un s’opposant au projet et acceptant de parler devant la caméra ». Ce qu’accepta sans problème D. Rykner. Rendez-vous fut pris avant que tout soit annulé sans explication. C’est en ouvrant le CANARD ENCHAÎNÉ du 11 mars qu’il apprit la suite comme il le raconte lui-même : « le Louvre avait prévenu clairement Arte : si j’étais interviewé, Henri Loyrette (président du Louvre) n’accorderait pas d’entretien. Or Arte ne peut pas se permettre de fâcher le Louvre (ils ont des accords de production) ».

Cet épisode, nous l’avons rapporté tel quel dans un autre de nos articles concernant l’opération 4 SEMAINES, une collaboration entre le Louvre et ARTE qui se proposait fin 2009 de confronter le musée à l’actualité immédiate par la diffusion quotidienne sur Internet de courts films, souvent de très grande qualité. Mais, dans notre article - « Le Louvre se pacse avec Arte pour le meilleur et pour la comm’ » -, nous avions montré la limite de l’exercice, le musée étant justement agité au même moment par une grève qui concernait tous les musées nationaux. Une actualité brûlante totalement occultée par cette prétendue confrontation au réel.

Telle était notre conclusion : « Le Louvre verrouille sa communication, utilisant les talents d’une chaîne publique comme une agence de production d’images à son service. Arte fondée sur des valeurs dont, peut-on lire sur son site, le »respect accordé au jugement de nos téléspectateurs, à la diversité des opinions et des points de vue« ... Le premier musée français distribue la parole à qui lui plaît, à qui ne le critique pas. Laisse passer la subversion tant que cela ne le concerne pas. Les autres n’ont pas droit de cité. Au palais de l’Art et des artistes, pas de place pour la liberté d’expression ». Il semblerait que, pour le Louvre McDo effacé du documentaire à venir, nous en ayons à notre tour fait les frais.

DES MUSÉES PLUS PARANOS
QUE DES CENTRALES NUCLÉAIRES

Il y a quelques mois, un journaliste travaillant pour une agence de presse TV nous contacte pour le Centre Pompidou au sujet duquel nous avons écrit plusieurs articles à rebours de ce qui se lit d’habitude, notamment durant la grève fin 2009. Il prépare un reportage sur le fonctionnement « secret » de Beaubourg destiné à être diffuser sur M6 dans une célèbre émission. Il ne nous propose pas d’y participer mais semble vouloir apporter un regard critique sur l’institution. Nous lui fournissons des infos, il nous rappelle de temps en temps et c’est nous qui lui transmettons le dernier rapport d’activité de l’établissement pourtant public puisque tous ont été retirés du site Internet officiel depuis que nous avons commencé à les utiliser, le service presse refusant de les communiquer jusqu’aux journalistes ! Puis un jour, sans en être prévenu, nous découvrons le reportage programmé. Nous le visionnons et, s’il y a une tentative de décryptage de l’institution (avec des erreurs plutôt grossières), il y a surtout une grande complaisance pour l’actuelle direction. Sans quoi, suppose-t-on, le reportage n’aurait sans doute pas pu se faire... Il va sans dire que nous ne sommes pas cité, même pas dans les remerciements.

Mais nos meilleures histoires avec les médias concernent le Château de Versailles sur lequel nous avons beaucoup écrit, sous des angles totalement délaissés par la presse, ce qui nous amène à être régulièrement contacté par des journalistes sans à l’arrivée être forcément cité, c’est même rare. Comme ce grand hebdomadaire « de gauche » qui enquêtait sur Versailles au moment de la fin du premier mandat de Jean-Jacques Aillagon. Une journaliste nous mobilise plusieurs heures pour reprendre dans son papier certaines de nos infos sans du tout nous citer, subjuguée peut-être par M. Aillagon qui l’avait reçue, comme d’autres de ses confrères alors, à son domicile privé, un logement de fonction dans le parc du Château. Une pratique de l’accaparement sans citation dont s’est fait une spécialité à notre encontre un grand groupe de presse spécialisée dans l’actualité artistique, qui, quand on a l’outrecuidance de lui faire remarquer, nie avec une parfaite mauvaise foi l’évidence. Heureusement qu’il existe des médias honnêtes et plus respectueux d’un site comme le nôtre, aussi confidentiel soit-il par rapport aux gros mastodontes de l’info.

Concernant le Château de Versailles, nous avons eu aussi une déconvenue TV avec une importante maison de production qui nous avait contacté il y a plus d’un an pour un projet de documentaire sur le Versailles non officiel, une enquête également destinée à M6. Nous avions rencontré longuement la jeune journaliste dynamique qui devait le réaliser, accompagnée de son assistante. Elle était très déterminée, avait pris plein de notes, nous avait demandé formellement si nous accepterions d’y participer. Elle projetait de rencontrer d’autres personnes. On nous rappela à plusieurs reprises. Mais, de semaine en semaine, le projet devait se fragiliser, pour la simple et bonne raison que la direction du Château de Versailles refuse de donner des autorisations de tournage pour les projets qui ne vont pas dans son sens. En clair, Versailles n’accepte que les reportages qui font son éloge béat et qui n’en montre que le côté carte postale. Et, de fait, il n’en existe aucun, à notre connaissance, qui n’ait pu explorer ses zones d’ombre ou révéler ses points faibles. Dans cet établissement public national, le couperet de la censure tombe dès le départ malgré tous les discours d’ouverture de ses responsables. Aucun travail d’investigation réel n’est donc possible pour les médias audiovisuels. A moins de tout faire en caméra cachée, comme en Corée du Sud. Si ça intéresse quelqu’un, nous sommes toujours partants...

Dans la presse écrite, l’omerta sur la critique de Versailles se vérifie également. A commencer par l’AFP qui, nous le dénonçons régulièrement, fait plus office de relais de communication avec des dépêches de facture quasi publicitaire que source d’information indépendante et fiable. On ne compte plus les erreurs et omissions véhiculées avec complaisance par cette agence de presse nationale, toujours à l’avantage des responsables des lieux. Cela s’est encore vérifié dernièrement avec l’annonce mensongère de 10% d’augmentation de la fréquentation du domaine. Mais l’AFP peut également jouer un rôle de manipulation, comme on l’a vu à l’occasion de l’exposition Murakami Versailles, quand elle survalorisa l’importance des groupes d’opposants radicaux, légitimant de fait l’initiative du Château. AFP qui, cela va sans dire, bloque systématiquement tout ce qui émane de nous. Y compris quand, à l’été 2009, nous saisissons la Répression des fraudes pour dénoncer les pratiques tarifaires de l’établissement, qu’une enquête est déclenchée puis finalement étouffée. Plusieurs médias, et non des moindres comme Le Monde, rendront compte de notre initiative inédite, on leur avait transmis directement nos informations, l’AFP non. A cette occasion, plutôt que de nous contenter de transmettre nos communiqués par mail, nous avions pourtant cherché à joindre par téléphone l’agence. Mal nous en prit, accueilli agressivement par une journaliste du service Culture, celle-ci nous répondit sèchement qu’il lui fallait vérifier l’info. Puis on en entendit plus parler. On en rigole encore au regard des multiples erreurs contenues dans les dépêches AFP pro-Versailles.

Un des rares journalistes de presse écrite à avoir suivi nos actions concernant le domaine de Versailles travaillait au Parisien Yvelines, un média de proximité extrêmement lu. Il prenait en compte de temps en temps nos communiqués, les répercutait dans ses articles, toujours avec un regard critique, les confrontant à la parole officielle du Château. Un vrai travail de journaliste. Franchit-il les limites quand, dans une édition de fin d’année, il réussit à nous imposer parmi les 10 personnalités marquantes des Yvelines !? La nouvelle ne fut pas du goût de tout le monde, en tous cas pas du blog versaillo-versaillais monversailles.com qui aurait plutôt vu à notre place le nouveau président du Conseil général des Yvelines. A la rentrée, le journaliste avait quitté la rédaction sans que notre « consécration » y soit on l’imagine pour quelque chose. Toujours est-il qu’à partir de là, tout rentra dans l’ordre puisque plus aucun de nos communiqués ne furent répercutés dans les colonnes du Parisien Yvelines qui applaudit désormais benoîtement à chaque initiative du Château. Merveilleux.

Au final, même si on sait être lu par d’importants responsables du monde de la Culture en France, que des journalistes demandent à recevoir notre newsletter sans jamais parler de nous quand d’autres malgré tout nous cite quelque fois, la reconnaissance de notre travail viendrait presque plus de l’étranger, confirmant l’adage « Nul n’est prophète en son pays ». Dans notre revue de presse, on compte déjà un certain nombre de citations dans des journaux anglosaxons et deux de nos articles ont même été traduits en russe !

La semaine dernière, nous avons reçu le mail d’un directeur d’un musée européen de renom, situé hors de France, pour nous remercier de nos articles qu’il trouvait « fort intéressants » et pour nous dire qu’il s’inspirait quelque fois de nos « réflexions générales sur les musées d’aujourd’hui » pour argumenter son propre travail ! Dans quelques semaines, nous serons amené à participer à Bruxelles à une conférence-débat en présence de la ministre de la Culture de la Communauté française de Belgique quand Frédéric Mitterrand, notre propre ministre de la Culture, ne daigne même pas répondre à nos courriers. Enfin, dernièrement, un journaliste suisse du Neue Zürcher Zeitung, correspondant à Paris, a repris notre enquête sur le « Scandale Vuitton au musée Carnavalet » que la presse française a ostensiblement ignoré et a vérifié tout ce que nous y affirmons pour confirmer tout ce que nous y dénonçons : opération publicitaire sous couvert d’exposition, instrumentalisation et arrangement avec l’Histoire, censure d’un livre dans la librairie du musée... [3]. Dans cet article, il tient « de manière appuyée, (à) honorer et remercier les répresentants de la presse internet locale comme Hasquenoph (Louvre pour tous) ou Didier Rykner (La Tribune de l’Art) pour remplir leur tâche d’information critique dans le secteur culturel, une tâche que les quotidiens ne peuvent pas ou ne veulent que de moins en moins remplir » [4]. On le remercie ici. Car c’est bien là notre sujet d’étonnement quotidien : pourquoi tant de silences dans les médias traditionnels quand des pratiques contestables se multiplient dans les musées publics ? A observer comment les grandes institutions blindent leur communication, on aurait presque l’impression qu’elles cachent des secrets plus sensibles que des centrales nucléaires. Ridicule.

:: Bernard Hasquenoph |

:: Louvre pour tous | 22/12/2010 | 08:18 |

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NOTES

[1] Précisons que dans nos messages, nous avons évoqué qu’on espérait qu’il n’y avait pas de problèmes comme ceux qu’on avait déjà connus et évoqués devant lui, et qu’on comprendrait très bien qu’il puisse changer d’avis sur notre participation, nous voulions juste en être averti.

[2] Lu sur un forum où il fait un appel à témoin pour un autre reportage.

[3] « Das Museum als Werbeträger » bei Marc ZitzmannSa, NEUE ZÜRCHER ZEITUNG | 11.12.10. Sa seule réserve est le lien que nous signalons entre Christophe Girard, adjoint parisien à mi-temps chez LVMH et cette expo. Coïncidence qu’il nous a semblé évident de devoir noter sans rien pouvoir affirmer de plus.

[4] « Und möchte en passant, aber mit Nachdruck Vertretern der hiesigen Internet-Presse wie Hasquenoph oder Didier Rykner Lob und Dank dafür aussprechen, dass sie im Kunstbereich eine kritische Informationspflicht erfüllen, die die Tagespresse immer weniger wahrnehmen will oder kann. »



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« La fonction du musée est de rendre bon, pas de rendre savant. » Serge Chaumier, Altermuséologie, éd. Hermann, 2018
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